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Piaf, l'Etre intime

Musique, Lecture - Conte - Poésie, Théâtre

Tréguier 22220

Le 11/12/2021

Clotilde Courau et Lionel Suarez - Lectures musicales Après avoir perdu l’amour de sa vie, Marcel Cerdan, Piaf garde en elle une foi intacte en la vie et un désir d’amour plus fort que tout qu’elle livrera 7 mois plus tard à son amant d’un mois, Tony Franck, dans 11 lettres intenses.De confessions ardentes en préoccupation maternelle pour le petit Paul, fils de Marcel Cerdan dont elle s’occupe, Momone, son amie de toujours, ou pour Tony, Piaf apparaît, entre les lignes, telle qu’elle est : une énergie débordante, une âme généreuse, un cœur incapable de tiédeur. Capable de tous les élans, de tous les dévouements, Piaf n’attend qu’une chose en retour : l’amour d’un homme. Mais pas sûr que cet homme-là soit à la hauteur. Voilà 7 ans déjà que Clotilde Courau, accompagnée par l’accordéoniste Lionel Suarez, nous livre cette correspondance inédite de Piaf... Deux savoirs faire, deux expertises complémentaires qui d’une œuvre à l’autre offrent une vision commune, singulière et émouvante. Un dialogue s’installe alors entre les mots et la musique... Réservation conseillée auprès du bureau d'accueil du théâtre.

photo Alex Jaffray - Le son d'Alex

Alex Jaffray - Le son d'Alex

Musique

Trébeurden 22560

Le 26/02/2022

Tout a commencé comme ça : Les premières traces d'instruments sont des flûtes taillées dans des os de vautours et datent de 40 000 ans. Le Son d’Alex, c’est un barbu, un sampleur gavé de musiques et des vannes pour voyager de la Préhistoire à Pierre Bachelet, des Daft Punk à Booba en passant par Bach, Ennio Morricone ou encore Maître Gims. Vous allez enfin comprendre pourquoi la musique est un métier d’escroc, la preuve, les DJs et les braqueurs de banques utilisent la même phrase : « Put your hands up in the air, Put your hands up in the air ! » On ressort du Son d’Alex avec des anecdotes véridiques pour briller dans les dîners en ville et la recette pour écrire le tube de l’été prochain… En fait… non. S’il avait la recette, il ne vous quémanderait pas de l’argent pour aller le voir sur scène, il aurait écrit un tube et serait à Miami sur un Yacht avec Lady Gaga en train de siroter des spritz. Compositeur, scénariste, producteur et chroniqueur musical dans Télématin, Alex Jaffray propose un seul-en-scène où il livre avec humour et mauvaise foi les anecdotes et petits secrets de l'histoire de la musique. Scénariste, compositeur de musique de films (L’Arnacœur, Un plan parfait…),[...]

photo Après toutes ces fake-news, faut-il réinventer la presse ?

Après toutes ces fake-news, faut-il réinventer la presse ?

Manifestation culturelle

Saint-Jacut-de-la-Mer 22750

Le 04/03/2022

A une époque où chacun se sent en mesure d’opiner sur tout et n’importe quoi et que notre époque moderne démultiplie les supports professionnels ou pas d’information en continu, les médias inspireraient de plus en plus de défiance, y compris, surtout ( ?), les plus installés, cette presse « mainstream » comme la qualifient souvent les tenants d’une « réinformation » indispensable et pressante. De quoi donc les médias seraient-ils coupables ? Tour à tour, de la propagation de fausses nouvelles, de la consolidation du complotisme ambiant, de relations incestueuses avec les puissances de l’argent et de la politique. Bref, de mensonges qui orienteraient sciemment l’opinion publique vers ce qu’il faut croire, au profit de qui on sait. Est-ce pourtant si simple ? Sans doute y a-t-il en effet un légitime procès à ouvrir, à l’aune de l’histoire longue, celle en particulier d’une presse française volontiers accoquinée. Un verdict sévère mais juste conduira alors Philippe MEYER à dessiner les contours d’un journalisme de terrain réinventé, émancipé et qui sait, digne de foi ? A l'Abbaye ou en visio

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"A Islande !" - rencontre avec Ian Manook - complet

Ploubazlanec 22620

Le 16/03/2022

organisé par Milmarin et la Librairie du Renard avec la participation de Pierre Guérin et de descendants de pêcheurs 135 ans après Pierre Loti, c’est un récit sur la pêche à Islande empreint de réalisme et de souffrance que propose Ian Manook. « A Islande ! », comme un cri du cœur de ces bretons qui passaient la moitié de l’année à pêcher la morue dans les eaux islandaises, enchainant les campagnes pour le compte d’armateurs pour qui seul comptait le résultat de la pêche. S’ils ne touchaient terre qu’une fois pendant ces 6 mois, lors de l’escale de mi-pêche, il arrivait qu’en cas de naufrage ou de maladie ils soient soignés par les religieuses des Œuvres de Mer à Fàskrùdsfjördur. C’est là qu’Ian Manook plante son décor : une jeune infirmière paimpolaise envoyée par l’Etat français y croise des naufragés épuisés et désillusionnés, une institutrice islandaise révèle un mode de vie insulaire très rudimentaire, une religieuse danoise interroge sa place et sa foi. Ce roman, c’est aussi un contexte politique, celui de la République française qui reprend aux associations religieuses le soin de ses marins, peu avant la loi de 1905. Réaliste mais romancé avec brio, « A Islande[...]